Ca suffit !
Vendredi 12 février 2010, L2, 24ème journée : Nîmes - HAC : 1 - 1 (0 - 0)
Il n'est pas question de se cacher derrière l'arbitrage mais, au bout d'un moment, la situation devient pénible... Hier soir au stade des Costières le HAC a réalisé un très bon match mais des erreurs d'arbitrage flagrantes ont annihilé les efforts fournis. Certes, il aurait été logique de plier le match avant en mettant les occasions au fond, mais cela n'ôte pas à M. Schneider son incompétence : le match aurait très bien pu dégénérer à cause de lui. L'expulsion de Gillet à la 78e minute (pour quelle raison ?), la faute non sifflée sur Gigliotti dans la surface nîmoise et l'égalisation de Nîmes sur l'action suivante, l'expulsion de Hénin... Beaucoup trop de sanctions contre les Havrais : six jaunes, deux rouges ! Autant dire que ces décisions auront des répercussions dans les semaines suivantes, à commencer lors de la réception d'Istres vendredi.
Vraiment dommage. Le HAC avait ouvert la marque par Bonnet à la 63ème minute et il n'y avait pas grand-chose à redire. Si le début de match avait été hésitant, les Ciel et Marine surent accélérer, notamment grâce à Mesloub. La victoire était à leur portée. Il n'y eut que M. Schneider pour gâcher la fête.
Alors maintenant, que fait-on ? Hier soir, les Ciel et Marine ont préféré ne pas se rendre en salle de presse pour éviter tout dérapage verbal. Le président Louvel a déclaré être prêt à montrer les images du match à la commission d'éthique. Si cela peut faire avancer le schmilblick... Mais quand aidera-t-on les arbitres ? Quand modernisera-t-on le football ? En attendant que les institutions discutent et se mettent éventuellement d'accord, les clubs sont les victimes, leur avenir étant parfois mis directement en jeu...
Merci aux deux KCM présents (un en parcage, un en tribune) d'envoyer leurs impresssions sur ce déplacement et, éventuellement, leurs photos ! Signalons au passage que des supporters havrais ont été agressés lâchement par une bande d'individus à la sortie du stade. Heureusement, le mal fut minime. Mais quelle bande d'imbéciles...